vendredi 16 mars 2018

VISITE AU MAMC DE SAINT-ETIENNE

Pour les 30 ans du Musée d'Art Moderne et Contemporain de Saint-Étienne nous étions huit pour découvrir "My red homeland" d'Anish Kapoor (dont nous avions déjà vu des œuvres au Couvent de La Tourette) http://lestupinsmontbrisonnais.blogspot.fr/2015/11/les-tupins-au-couvent.html
et l'exposition "Considérer le monde" à partir des collections du Musée.

Salle 1 Connivences entre mondes industriels et artistiques
 Architectes et designers s'intéressent aux formes simples, pures, efficaces.


Salle 2 La mécanique de l'image
 
L'hyperréalisme de Don Eddy.

L'aventure spatiale dicte les formes des objets du quotidien.


Salle 4, "Narrative Art" ou quand le spectacle est dans la salle.

Salle 7 Figuration/ DÉ-figuration.
Les artistes se détachent de plus en plus de la reproduction fidèle du corps humain.

Jean Dubuffet et "l'art brut".

Gaston Chaissac, "Ce qui le porte, c’est le matériau, la spontanéité, la trouvaille. C’est un cueilleur."


Salle 10 et 11, La quête du minimalisme.
 "Ce que vous voyez est ce que vous voyez" dit Frank Stella, il n'y a pas de symbole ou de message.

"Fladrine" de Frank Stella.

Salle 13,  Réinterprétation des grandes thématiques de la tradition.
Au premier plan, "Sanguis/Mantis" de Jan Fabre, un champ de bataille d'armures-carapaces.

Ces quelques photos donnent une idée de la richesse de cette présentation.

 Terminons par cette grande œuvre de Michael Buthe utilisant acrylique, papier journal, peinture argentée et dorée sur toile.

La grande salle consacrée à Anish Kapoor était impressionnante. 

"MY RED HOMELAND" (ma terre natale rouge).



Sur une plateforme de 12 mètres de diamètre, plus de 20 tonnes de matière rouge, cire, vaseline, pigments sont modelés en permanence par un bloc d'acier qui tourne très lentement.

"Unborn", silicone et fibre de verre. Ces œuvres ont trait à nos souvenirs les plus anciens, en lien avec la maternité, à l'origine universelle de l'humanité toute entière...

Du rouge, du violet, du jaune, du noir... surgit une complexité qui fascine.

"L’espace manipule votre corps".
Une exposition bouleversante.

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